On reproche au CAC de ne pas être assez présent auprès du chef d’entreprise. Dans le cadre de notre mission, quelles bonnes pratiques ou bonnes idées pourraient amener le chef d’entreprise à communiquer vers  l’extérieur sur les apports de son CAC au cour

On reproche au CAC de ne pas être assez présent auprès du chef d’entreprise. Dans le cadre de notre mission, quelles bonnes pratiques ou bonnes idées pourraient amener le chef d’entreprise à communiquer vers  l’extérieur sur les apports de son CAC au cours de l’année ? Voire à le recommander ?

Je dirais même comment faire en sorte que le commissaire aux comptes soit plus présent auprès du chef d’entreprise. Faire le point avec le client dès le début de la mission lors de la planification, puis au cours de la mission et bien entendu pendant la synthèse.
Ne faudrait il pas plus détailler lors de l’AG nos interventions, actuellement soyons réaliste, le rapport présenté à l’AG meme le nouveau ne permet pas de comprendre l’intervention du CAC pour un non pratiquant de l’audit.

Pour compléter ce qui a été écrit précédemment, il faudrait que le rapport soit revu selon plusieurs axes :

- adapter le rapport au contexte du client, faire en sorte que le rapport s'adresse au client (de ce fait, le client devrait être plus intéressé et à l'écoute),
- insérer une partie qui intègre les conclusions de l'intervention,
- conserver une partie normative pour l'émission de l'opinion.

Bonjour, je suis d’accord avec ce qui a été dit précédemment. Je souhaiterai ajouter autre chose. Je pense qu’il faut également se rendre indispensable pour le client et sa relation avec les tiers. On le voit avec les normes iso, les tiers ne vont pas voir le contenu du rapport mais ils veulent savoir que l’entreprise respecte un certain nombre de règles, nous sommes les garants de la fiabilité de l’info Financière, pourquoi ne pas créer la « norme iso » permettant de justifier d’une comptabilité ne présentant pas d’anomalie significative.. est-ce que des commissions de la cncc ont déjà planché sur le sujet ? Étant indispensable nous n’aurions plus à nous battre pour garder la profession protégée par une obligation légale...